Chat de salon ou chat libre. Chat de race ou chat de gouttière.
Chat social ou chat solitaire. Chat câlin ou chat coquin.
Pure émotion, Pur instinct, Pur félin
Les chats sont tous… Des Chats Pluriels !
Ludivine Albert,
Comportementaliste spécialiste du Chat & de la relation Homme
Chat et Communication animale générale
Formation
Mentorat & Coaching
La Consultation
C’est un moment privilégié entre le comportementaliste et vous. Vous allez pouvoir poser toutes les questions qui vous tiennent à coeur et évoquer en confiance vos attentes ou vos difficultés. En Savoir plus
Le rôle du Comportementaliste
L’approche du comportementaliste s’effectue grâce à différentes compétences.
Il utilise des notions d’éthologie humaine et animale (science du comportement). En connaissant parfaitement les différents comportements de l’animal, il sait les interpréter et notamment connaître son état émotionnel.
Des compétences en psychologie l’aident à libérer la parole des propriétaires, parfois en grand désarroi, et à amener sereinement au changement.
Le comportementaliste, à l’écoute des personnes en difficulté avec leur animal, va avec eux trouver des pistes d’amélioration (réorganisation du lieu de vie, des relations) sans prescription médicale, sans jugement mais avec bienveillance et empathie.
Son but est d’harmoniser les relations avec l’animal, en apportant une plus grande connaissance et une meilleure lisibilité des comportements.
Le comportementaliste n’est donc pas uniquement centré sur l’animal. Il a également une démarche globale d’accompagnement et d’écoute de ses propriétaires. En Savoir plus
Quand consulter ?
Le comportementaliste peut intervenir pour différentes raisons liées
au comportement de votre animal :
Mais également, à votre relation avec lui ou lors d’évènements particulier :
Le comportementaliste peut intervenir pour différentes raisons liées au comportement de votre chat.
à partir 100€
Pour les Professionnels du monde animalier
à partir de 40€
Il existe plusieurs manières d'exercer en tant que comportementaliste félin. Pour ma part, j'ai choisi de réaliser des entretiens à domicile, car observer le chat dans son environnement quotidien est essentiel pour analyser son comportement et adapter ma pratique.
L'entretien dure en moyenne 2 heures et est facturé 75 euros en Picardie, et 85 euros à Paris et en Ile-de-France. Ce tarif inclut un suivi par téléphone ou par mail pendant 1 mois et demi après la consultation. Chaque suivi téléphonique dure entre 20 et 30 minutes.
En outre, des frais de déplacement compris entre 5 et 20 euros s'ajoutent en fonction des distances et des moyens de transport utilisés (carburant, péage, train, etc.).
L'ensemble de la prestation représente environ 4 heures de travail, incluant l'entretien initial et les trois suivis prévus. Pensez-vous toujours que cela soit trop cher ?
Il est également pertinent de comparer le coût d'une consultation avec les dépenses engendrées par les comportements gênants de votre chat : nettoyage au pressing, remplacement de couette ou de canapé en cas de malpropreté, frais vétérinaires, voire médicaux pour vous-même en cas d'agressivité. Sans oublier les traitements médicaux ou les phéromones de synthèse à renouveler chaque mois si aucune solution durable n'est envisagée.
Les problèmes de comportement ne disparaissent pas "comme par magie", "avec le temps", ou "quand le chaton aura grandi". Ils ont même tendance à s'aggraver si aucune action n'est entreprise rapidement.
Il est bien sûr recommandé de consulter votre vétérinaire pour vérifier la santé de votre chat, car un comportementaliste n'intervient pas sur un animal malade.
Cependant, la démarche du comportementaliste est complémentaire à celle du vétérinaire.
Le comportementaliste vous apporte une nouvelle approche de la relation avec votre chat. Il vous aide à comprendre la cause de ses comportements et à adopter les bonnes réactions pour l'aider efficacement. Vous traiterez la cause sous-jacente du comportement (« Pourquoi mon chat est-il en difficulté ? ») plutôt que de vous concentrer uniquement sur les conséquences (« Il est agressif ou malpropre »).
Finalement, cette approche est bien moins coûteuse qu'on ne le pense et devrait être considérée en prévention de situations potentiellement difficiles (déménagement, arrivée d'un bébé, introduction d'un nouvel animal).
Dans la plupart des cas, une seule visite à domicile suffit si vous appliquez les recommandations et profitez du suivi inclus dans la consultation.
De plus, les solutions proposées par le comportementaliste sont simples, peu onéreuses et souvent réalisables avec des objets du quotidien ou des accessoires que vous possédez déjà.
Alors, prêt à prendre rendez-vous ?
Votre chat connaît bien votre routine et sait exactement quand la maison va plonger dans le calme pour la nuit.
C’est pourquoi, juste avant que vous ne vous couchiez, il profite d’un dernier moment pour se défouler et courir dans tous les sens !
Ce quart d’heure de folie lui permet de se détendre avant de dormir. Laissez-le faire, c’est naturel !
Pensez également à lui proposer des activités variées tout au long de la journée pour répondre à ses besoins d'exploration et de jeu.
Griffer est un comportement naturel chez le chat.
Cela lui permet de s’étirer, d’éliminer ses griffes usées et de marquer son territoire de manière durable.
Il est donc inutile de le gronder pour cette habitude instinctive.
Au lieu de cela, mettez à sa disposition un support attrayant à proximité du canapé qu’il a pris pour cible, afin qu’il puisse s’y adonner librement.
Avant tout, demandez-vous ce qu’est réellement une bêtise pour votre chat.
Nombre de comportements que nous considérons comme indésirables, tels que faire ses griffes, chaparder de la nourriture appétissante ou grimper sur la table, sont en réalité naturels pour lui. Ce que nous attendons de nos félins est souvent en contradiction avec leurs instincts.
Il est important de comprendre qu’un chat n’a pas la notion du bien et du mal ; il agit simplement selon son instinct. Ainsi, le punir n’a aucun sens. Même si vous le surprenez en train de commettre une « bêtise », il est inutile de crier, de gesticuler, de le poursuivre ou de lui mettre « le nez dedans ».
Ces réactions ne lui permettront pas de comprendre votre mécontentement.
De plus, il ne faut jamais frapper un chat, que ce soit une simple pichenette sur le nez ou une tape sur les fesses. Pour lui, cela sera perçu comme une agression et pourrait entraîner des réactions défensives, voire agressives, à votre égard. Il risque de développer de la peur et de la méfiance envers vous.
Imposer une autorité stricte à votre chat ne produira aucun effet positif.
Il est donc essentiel de se demander quel type de relation vous souhaitez établir avec votre compagnon. Pour éviter les comportements indésirables, mieux vaut anticiper : rangez les aliments, mettez à sa disposition des supports adaptés pour grimper, se percher et faire ses griffes.
Offrir un environnement adapté et respectueux de ses besoins est la clé d’une cohabitation harmonieuse.
Avant d’adopter votre chat, informez-vous sur le type de litière qu’il utilise habituellement, qu’il s’agisse du bac ou du substrat.
Chaque chat a ses préférences ! Idéalement, il est préférable de conserver le même type de litière et de bac pour faciliter son adaptation.
De manière générale, un bac ouvert est recommandé, car il permet une meilleure diffusion des odeurs, essentielles au chat pour marquer son territoire en urinant et en déféquant.
Évitez les litières parfumées ou les désodorisants : ce qui peut sembler agréable pour nous ne l’est pas forcément pour lui, car cela ne sent plus « le chat » !
Enfin, gardez en tête qu’une litière excessivement propre peut paradoxalement inciter à la malpropreté.
Certains chats n’apprécient pas l’eau stagnante de leur gamelle et préfèrent boire une eau en mouvement, comme celle qui coule du robinet.
Si votre chat adopte ce comportement, il pourrait être judicieux de lui offrir une source d’eau plus attrayante. Les fontaines à eau, disponibles dans le commerce, peuvent être une excellente solution.
Avant d’investir, vous pouvez essayer de rendre son eau plus appétissante en la changeant régulièrement, en optant pour de l’eau en bouteille ou en choisissant une gamelle en verre, porcelaine ou inox, qui ne modifie pas le goût de l’eau.
Chaque chat a sa propre personnalité, certains étant moins câlins ou moins en quête de contact humain. Peut-être que votre chat fait partie de ces félins plus indépendants.
Pour créer une relation plus proche, commencez par observer quand il est le plus réceptif aux interactions.
Privilégiez les moments où il est éveillé et détendu, en évitant les périodes de sommeil, de repas ou de toilette. Il est également important de ne pas être trop envahissant en le prenant dans vos bras ou en le forçant à rester près de vous.
Laissez-le définir la manière dont les câlins se déroulent, et il viendra naturellement vers vous quand il se sentira prêt.
Il est important de choisir une alimentation spécifique pour les chats seniors, car leur corps et leurs besoins nutritionnels changent avec l’âge.
Les croquettes adaptées ont une forme et une texture qui respectent leurs dents plus fragiles, tout en contenant des compléments alimentaires qui soutiennent leur organisme vieillissant.
N'oubliez pas de vérifier régulièrement l’état de ses dents (notamment pour la gingivite) et de ses yeux (pour détecter la cataracte).
Pour son confort, sachez que votre chat senior passera probablement plus de temps à dormir. Offrez-lui des espaces confortables et cosy pour ses longues siestes, et en hiver, rapprochez son panier du radiateur pour qu’il se sente bien au chaud.
Quant à son comportement, il peut devenir moins tolérant aux bruits forts et aux contacts. L’essentiel est de l’accompagner avec douceur et bienveillance face à ces changements, afin qu’il profite d'une retraite sereine et agréable.
Il est vrai que certains risques de contamination existent, notamment la toxoplasmose.
Cependant, il est tout à fait possible d'attendre un enfant tout en ayant un chat, à condition de prendre quelques précautions. La toxoplasmose est une infection parasitaire qui peut se retrouver dans les excréments de votre chat ou dans la terre contaminée par ces excréments. Si votre chat ne sort pas à l'extérieur, les risques sont minimes.
En revanche, si votre chat a accès à l'extérieur, les risques sont plus élevés, mais cela ne justifie en aucun cas de vous séparer de lui, même temporairement.
Voici quelques mesures simples à prendre pour éviter tout risque :
Quant aux câlins, rassurez-vous, ils sont totalement autorisés ! Votre chat ressent les changements autour de vous, alors n’hésitez pas à partager ces moments de tendresse avec lui.
Il est important de ne pas se précipiter !
C’est bien trop tôt pour envisager une adoption. Il ne faut pas confondre le sevrage alimentaire, l’apprentissage de la propreté et le sevrage affectif.
Même si votre chaton ne tète plus le lait de sa mère, cela ne signifie pas qu’il n’a plus besoin d’elle ni du contact avec ses frères et sœurs.
L’idéal est d’attendre qu’il ait atteint ses 12 semaines complètes avant d'envisager de l'adopter.
Soyez patient(e), car tout ce qu’il va apprendre pendant ces semaines passées avec sa mère et sa fratrie sera essentiel pour son développement et l’aidera à devenir un chat adulte équilibré.
Il est tout à fait normal d’avoir un coup de cœur pour un chaton, ils sont tellement adorables !
Cependant, il est essentiel de prendre un moment pour réfléchir avant de prendre une décision qui pourrait avoir des conséquences sur vous et votre futur compagnon.
Avant d'adopter un chat, ne laissez pas l'impulsion guider votre choix. Un chat a besoin d’un environnement adapté, de soins réguliers, d’activités et d’affection. Posez-vous les bonnes questions : êtes-vous souvent absent ? Pouvez-vous assumer les frais vétérinaires en cas de problème de santé ? Et pendant les vacances, est-ce que vous pourrez emmener votre chat ou avez-vous une solution de garde ? Réfléchissez à toutes ces questions avant de vous engager.
Il est aussi crucial de visiter l’élevage où vit votre futur compagnon. Que ce soit chez un particulier ou un éleveur, l’environnement du chaton doit favoriser son bien-être émotionnel et psychologique. Assurez-vous de la transparence et de la confiance entre vous et l’éleveur.
Observez attentivement la chatterie : est-elle propre ? L’espace est-il adapté au nombre de chats ? Y a-t-il des aménagements comme des arbres à chats, des paniers ou des litières ? Faites confiance à votre instinct et n’hésitez pas à repartir si quelque chose vous semble suspect.
Si vous avez besoin de temps pour réfléchir, demandez à l’éleveur s’il est possible de mettre une « option » sur le chaton, afin de vous laisser un peu de temps. Un comportementaliste peut également vous accompagner dans cette réflexion. N’hésitez pas à le consulter pour vous assurer que vous faites le bon choix.
Si vous envisagez d'adopter un chat de race, soyez particulièrement vigilant. Il est trop fréquent de voir des chats « de type » ou « d’apparence » d’une race spécifique, alors qu'ils ne le sont pas réellement. Assurez-vous de demander le pedigree LOOF pour garantir la pureté de la race.
Avant de faire votre choix, commencez par déterminer vos préférences esthétiques : préférez-vous un chat à face plate, à poils courts, plutôt athlétique ou plus câlin ?
Une visite dans une exposition féline peut être une excellente manière de découvrir ces caractéristiques en personne, d’admirer la beauté du pelage, l’intensité du regard et, en somme, le charisme de chaque chat.
Pour ce qui est du caractère, méfiez-vous des stéréotypes : certaines races sont réputées pour être plus adaptées aux enfants, d’autres pour être « comme des chiens », ou encore plus exclusives et indépendantes.
Sachez que ce sont les conditions de développement et d'éducation précoces qui joueront un rôle déterminant dans la personnalité de votre chat, qu’il soit proche de l'humain ou plus réservé, et sa tolérance aux jeunes enfants.
Enfin, la morphologie d’un chat influe sur son comportement. Un chat plus athlétique aura naturellement tendance à être plus dynamique et joueur, tandis qu’un chat plus massif et de grande taille sera probablement plus calme.
Rappelez-vous que, qu’il soit de race ou non, votre chat reste un chat avant tout ! Tous, qu'ils soient de race ou de gouttière, ont leur propre personnalité et, dans leurs comportements, ils sont tous des Chats Pluriels !
Il semble que vous devrez investir dans un placard à chaussures sécurisé !
L’ingestion d’objets comme les lacets, les cordons de vêtements ou les liens de sac poubelle représente un réel danger pour votre chat. Les risques sont graves, pouvant entraîner des vomissements, une asphyxie, une occlusion intestinale, voire pire, la mort dans certains cas.
Il est donc crucial de rester vigilant, même si personne ne peut surveiller votre chat en permanence. Pour éviter ces accidents, il est essentiel de sécuriser l’environnement en rangeant systématiquement les objets à risque. Les chats, quel que soit leur âge, ont besoin de jouer, et les lacets sont souvent perçus comme des jouets irrésistibles.
En rangeant les chaussures et en lui offrant d’autres jouets, vous réduirez la frustration liée à l’absence de ce « jouet » dangereux.
Cependant, si votre chat a tendance à grignoter, mâchonner ou ingérer d'autres objets, comme des pulls ou des vêtements en matières naturelles (lin, coton, laine, etc.), cela peut être un signe de trouble du comportement alimentaire.
Si ce n’est pas le cas, cela reste un chat qui aime jouer, mais si tel est le cas, il serait judicieux de consulter un comportementaliste pour évaluer la situation et trouver des solutions adaptées.
Lorsqu’un chat urine à un endroit inapproprié, cela signifie qu’il cherche à exprimer quelque chose. L’endroit, la fréquence et même la position du chat lors de l’urination peuvent tous vous fournir des indices sur la situation. Si votre chat fait cela, c’est qu’il y a une raison sous-jacente.
Il est vrai que l’utilisation d’un répulsif peut parfois stopper temporairement le problème. Cependant, cela n’adresse pas la cause réelle du comportement et pourrait même aggraver la situation. En introduisant une odeur inconnue et désagréable, vous risquez d'ajouter du stress à votre chat, ce qui ne résout en rien le problème. De plus, le répulsif devra être réappliqué fréquemment, ce qui en fait une solution à court terme et peu pratique.
Une approche plus durable consiste à consulter un comportementaliste. Il pourra observer les circonstances dans lesquelles la malpropreté se manifeste, comprendre ce que ressent votre chat et pourquoi il urine à cet endroit. Ensemble, vous pourrez mettre en place des solutions adaptées pour rediriger ce comportement indésirable, permettant à votre chat et à vous de retrouver une relation sereine.
Un arbre à chat ou tout accès en hauteur (haut d’armoire, étagère) sont essentiels pour le bien-être du chat. C’est un animal qui vit en trois dimensions : il a besoin de grimper et de se percher.
Devant le choix proposé dans les magasins spécialisés et sur internet, voici quelques critères essentiels pour un bon achat :
La qualité / la robustesse : la qualité des matériaux est essentielle. La fourrure (ou peluche) qui recouvre les plateformes doit être épaisse et collée au support sur toute la surface. Les parois des niches doivent être en bois et pas en carton. La niche doit être située en hauteur, car au ras du sol, certains petits étourdis pourraient la prendre pour leur litière !
La sécurité : Plus il est haut, plus il doit avoir de pieds ! Choisissez un arbre à 3 ou 4 pieds minimum. Des accidents graves avec des arbres peu stables sont possibles. Au besoin, fixez votre arbre à chat au mur ou au plafond.
Sur un arbre assemblé aucune vis de fixation ou arrête saillante ne doit apparaître, il y a des risques de blessures.
L’hygiène : L’arbre doit être facile à nettoyer avec un aspirateur. L’intérieur des niches, notamment, doit être facilement accessible en cas d’infestation de puces.
La hauteur : Rien ne sert d’acheter un arbre très haut ; 1, 40 m maximum sont suffisants. N’oubliez pas que vous devrez peut-être aller chercher votre acrobate perché sur la dernière plateforme !
Les pièces de rechange : Après quelques années d’utilisation, il est parfois nécessaire de changer un élément, les poteaux en sisals qui sont utilisés comme griffoir par exemple. Vérifiez si la marque et le modèle choisis disposent de pièces de rechange.
Le prix : un bon arbre à chat a un coût. Privilégiez la qualité quitte à payer plus cher, votre arbre résistera des années à l’assaut de votre fauve !
Enfin, si vous êtes bricoleur, rien ne vous empêche d’en fabriquer un vous-même, soyez créatif !
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